Ou serait-ce en joual, véritablement...?
Um especial em Português vai seguir proximamente;
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vocés vão ver que vocés vão gostar!
E, depois, vai ser qualquer coisa em български...
Deutsch... Italiano... Español...
E, depois, vai ser qualquer coisa em български...
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Il y a de ces soi-disantes ''chroniques'' des fois qui, au lieu d'accomplir leur mission somme toute assez simple qui est de divertir, nous font avaler les rôties du matin de travers et cracher le café tiède tout aussi vite que la tentative de l'avaler a été faite. Parmi ces soi-disantes ''chroniques'' donc, il y en a une qui mérite la palme dès le début de la nouvelle année: et j'ai nommé la première de 2015 du dénommé Ben (Benoît, vraiment - il veut juste s'américaniser; il rêve du marché lucratif États-Unien. Rêve, mon Ben, rêve - ça coûte rien; mais ça ne donne rien de concret, non plus.)
C'est qui ce ''Ben Chose'' qui se permet de décourager tous les honnêtes gens qui pratiquent un métier dur, honorable, nécessaire (contrairement, euh, au sien, par exemple!) - bref, un métier véritablement utile et foncièrement bénéfique à tous et chacun? C'est qui, ''Ben Chose'' pour oser ''descendre'', donc, avec son opinion infecte, les employés des centres d'appel qui sont pognés (comme il dirait, lui - ou comme il l'écrirait tout aussi bien) pour répondre aux 1001 questions des gens indignés par le service inadéquat pour lequel ils paient souvent bien trop cher? C'est QUI, ''Ben Chose'' donc, pour qualifier la ''job'' essentielle de préposé à l'entretien ménager dans un centre hospitalier de si indigeste, pour ''meussieur'' que, du temps où il était tenu de s'en acquitter deux fois par mois (ou quelque chose du genre) il ratait un jour sur deux et il ''décrocha'' complètement de l'emploi en question dès qu'il le pût - parce que ''meussieur'' n'en voyait pas l'attrait; parce que cela ne le stimulait pas assez afin qu'il se rende au travail et aide au bon fonctionnement d'un système assez chaotique comme ça sans que le gars chargé d'en nettoyer les résidus humains deux fois par mois ne se pointe carrément pas la moitié du temps...! C'est à en croire que ''Ben Chose'' ne lésine point sur l'entretien des ses chaussures, à tout le moins, vu qu'il doit piètiner dans la merde presque tout le temps, faute de personnel assez stimulé pour déblayer le passage devant ''meussieur''...
C'est pas peu dire: si vous lisez l'opinion de Ben Chose et la suivez à la lettre, en 2015, vous lâcherez tous vos ''jobs'' vitales mais de petite envergure -puisque si peu stimulantes- et vous deviendrez tous alors, peut être, des humoristes de petite envergure comme lui, à qui on pourrait donné -à l'occasion, momentanément- un forum sur lequel vous pourrez partager toutes les âneries qui vous passent par la tête, question de faire perdre leur temps à tous ces individus qui font du ''sur place'' avec leur ''p'tites jobbines'' chiantes. Mais, sais-tu quoi, Ben Chose, et savez-vous quoi, petites gens? Vos rôles dans la société sont des rôles-clés; sans le gars ou la fille qui prend en note les plaintes émises très souvent de façon brutale par les clients frustrés, les grosses compagnies ne prendraient compte d'absolument rien, si ce n'est que de collecter leur dû mensuellement. Sans les préposés sanitaires, la société en général serait mille fois plus merdique aussi qu'elle ne l'est d'ores et déjà - dans le sens figuré comme dans le sens propre (ou bien en deça de propre, en fait!)
Tout ça alors que, Ben Chose, avec ses chroniques merdiques et son opinion passe-partout (qui ferait rougir de honte Marie Eykel, si nous étions encore en 1985) ne fera jamais aucune espèce de différence chez son auditoire bien réduit, dans son petit monde bien à lui. À moins qu'il n'y en ait plusieurs qui le suive, son conseil insensé, et qu'ils désertent leurs postes et rôles-clés, donc, pour faire quelque chose de bien moins vital en ce qui a trait au bon fonctionnement de notre société. Car, bien évidemment, Ben Chose se fait le porte-parole bien aguerri de la génération des revendicateurs à qui l'on doit tout mais qui ne doivent rien à personne: les affranchis du monde, la génération Z. (Oui, ça, on veut bien y croire: que ce serait la dernière...! Mais, ça, c'est une autre histoire!)
Ils ne savent pas la signification du mot ''sacrifice'' ces Ben Choses: ils ne connaissant point le sentiment de donner de son temps, de se plier à certains désagréments, pour le plus grand bien commun autant que pour un cheminement personnel des plus édifiants... Non, connais pas!
Certes, tout le monde aime rire: mais si tout le monde voudrait être un bon-à-rien clownesque en lieu et place de quelque chose de bien plus utile à la vie de tous les jours, où irait donc la société actuelle, déjà bien assez désaxée par moments comme ça...? Demandez pas la réponse à ''Ben Chose'' - il vous répondrait n'importe quoi comme il le fait couramment dans toutes et chacune de ses soi-disantes ''chroniques'' tout comme celle-ci, la toute dernière pondue à la hâte, sans aucun doute...
C'est qui ce ''Ben Chose'' qui se permet de décourager tous les honnêtes gens qui pratiquent un métier dur, honorable, nécessaire (contrairement, euh, au sien, par exemple!) - bref, un métier véritablement utile et foncièrement bénéfique à tous et chacun? C'est qui, ''Ben Chose'' pour oser ''descendre'', donc, avec son opinion infecte, les employés des centres d'appel qui sont pognés (comme il dirait, lui - ou comme il l'écrirait tout aussi bien) pour répondre aux 1001 questions des gens indignés par le service inadéquat pour lequel ils paient souvent bien trop cher? C'est QUI, ''Ben Chose'' donc, pour qualifier la ''job'' essentielle de préposé à l'entretien ménager dans un centre hospitalier de si indigeste, pour ''meussieur'' que, du temps où il était tenu de s'en acquitter deux fois par mois (ou quelque chose du genre) il ratait un jour sur deux et il ''décrocha'' complètement de l'emploi en question dès qu'il le pût - parce que ''meussieur'' n'en voyait pas l'attrait; parce que cela ne le stimulait pas assez afin qu'il se rende au travail et aide au bon fonctionnement d'un système assez chaotique comme ça sans que le gars chargé d'en nettoyer les résidus humains deux fois par mois ne se pointe carrément pas la moitié du temps...! C'est à en croire que ''Ben Chose'' ne lésine point sur l'entretien des ses chaussures, à tout le moins, vu qu'il doit piètiner dans la merde presque tout le temps, faute de personnel assez stimulé pour déblayer le passage devant ''meussieur''...
C'est pas peu dire: si vous lisez l'opinion de Ben Chose et la suivez à la lettre, en 2015, vous lâcherez tous vos ''jobs'' vitales mais de petite envergure -puisque si peu stimulantes- et vous deviendrez tous alors, peut être, des humoristes de petite envergure comme lui, à qui on pourrait donné -à l'occasion, momentanément- un forum sur lequel vous pourrez partager toutes les âneries qui vous passent par la tête, question de faire perdre leur temps à tous ces individus qui font du ''sur place'' avec leur ''p'tites jobbines'' chiantes. Mais, sais-tu quoi, Ben Chose, et savez-vous quoi, petites gens? Vos rôles dans la société sont des rôles-clés; sans le gars ou la fille qui prend en note les plaintes émises très souvent de façon brutale par les clients frustrés, les grosses compagnies ne prendraient compte d'absolument rien, si ce n'est que de collecter leur dû mensuellement. Sans les préposés sanitaires, la société en général serait mille fois plus merdique aussi qu'elle ne l'est d'ores et déjà - dans le sens figuré comme dans le sens propre (ou bien en deça de propre, en fait!)
Tout ça alors que, Ben Chose, avec ses chroniques merdiques et son opinion passe-partout (qui ferait rougir de honte Marie Eykel, si nous étions encore en 1985) ne fera jamais aucune espèce de différence chez son auditoire bien réduit, dans son petit monde bien à lui. À moins qu'il n'y en ait plusieurs qui le suive, son conseil insensé, et qu'ils désertent leurs postes et rôles-clés, donc, pour faire quelque chose de bien moins vital en ce qui a trait au bon fonctionnement de notre société. Car, bien évidemment, Ben Chose se fait le porte-parole bien aguerri de la génération des revendicateurs à qui l'on doit tout mais qui ne doivent rien à personne: les affranchis du monde, la génération Z. (Oui, ça, on veut bien y croire: que ce serait la dernière...! Mais, ça, c'est une autre histoire!)
Ils ne savent pas la signification du mot ''sacrifice'' ces Ben Choses: ils ne connaissant point le sentiment de donner de son temps, de se plier à certains désagréments, pour le plus grand bien commun autant que pour un cheminement personnel des plus édifiants... Non, connais pas!
Certes, tout le monde aime rire: mais si tout le monde voudrait être un bon-à-rien clownesque en lieu et place de quelque chose de bien plus utile à la vie de tous les jours, où irait donc la société actuelle, déjà bien assez désaxée par moments comme ça...? Demandez pas la réponse à ''Ben Chose'' - il vous répondrait n'importe quoi comme il le fait couramment dans toutes et chacune de ses soi-disantes ''chroniques'' tout comme celle-ci, la toute dernière pondue à la hâte, sans aucun doute...
Non, Ben Chose: on ne peut pas tous faire ce que l'on aime,
dans la vie - et même Claude Dubois le sait, ça...
''...qu'est-ce que tu veux, mon vieux,
dans la vie on fait ce qu'on peut;
pas ce qu'on veut.''
+++
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